Elle me dit que nous étions tous les deux fautifs, et à vrai dire, ça devait être ça.
Oui sans doute, rajoutais-je, un peu perturbé par cette rencontre.
Nous finissions de ramasser ses affaires, qu'elle rangeait au fur et à mesure dans son sac. Elle me remercia de mon aide, après tout, je lui étais rentré dedans, c'était en partie de ma faute. Je me devais d'être gentleman.
Je lui souris quand elle se présenta, elle s'appelait donc Serena.
Enchanté Serena, moi c'est Daniel, mais appelles-moi Dan.